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7 mars 2014 5 07 /03 /mars /2014 20:44




L'opposant Vital Kamerhe, président de l'Union pour la nation congolaise, est rentré ce jeudi 06 mars à Kinshasa après une tournée agitée dans l'Est du pays. Un retour agité puisque des sympathisants ont été dispersés à l'aéroport par la police et que la grande majorité de journalistes a été interpellée par la Garde républicaine.

Venant de Goma, l'avion a mis plus de temps que prévu à l'escale de Kisangani, et c'est tard dans la soirée que Vital Kamhere a regagné Kinshasa. Pour le président de l'Union pour la nation congolaise, c'est le pouvoir qui a intentionnellement provoqué ce retard. L'objectif étant, selon Kamerhe, de décourager ses partisans qui l'attendaient à l'arrivée.

Mais c'est à coup de grenades lacrymogènes que les forces de l'ordre et de sécurité ont dispersé la foule. Les journalistes qui se sont retrouvés sur place à l'aéroport de Kinshasa ont été interpellés pendant plus d'une heure avant d'être relâchés et de pouvoir récupérer leurs matériels qui avaient été confisqués.

Le début de la tournée dans l'Est de Vital Kamerhe à la tête d'une délégation de la plateforme Sauvons la RDC  a également été mouvementé. Forcé de partir de nuit de sa résidence de la Gombe, le président de l'UNC avait, le matin suivant, été empêché de quitter Kinshasa à bord d'un avion affrété.

Autorisé enfin à partir après de longs conciliabules avec le ministre de l'Intérieur, la délégation, après un parcours sans faute dans le Nord-Kivu, a connu ses premières difficultés à Bukavu, chef-lieu du Sud-Kivu. En effet, des affrontements avec la police y avaient fait un peu plus de cinquante blessés.



Bruno Minas
Kinshasa, 7/03/2014 (RFI / MCN, via mediacongo.net)

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25 février 2014 2 25 /02 /février /2014 08:51
  
Afrikarabia, 20 fév 2014
Par Christophe RIGAUD

Images intégrées 9
 Honorable Vital KAMERHE transporté en "Tipoy" à l'entrée de Bukavu jeudi le 20 février 2014

 
Interdiction de quitter Kinshasa, poursuite judiciaire pour diffamation et « expulsion » de son logement, Vital Kamerhe accumule les ennuis. Mais en s’attaquant ainsi à son ancien bras droit, Joseph Kabila en fait son opposant le plus dangereux pour la présidentielle de 2016. 

 

Comme une victoire, Vital Kamerhe a finalement atterri à Goma, mardi 18 février devant une foule de militants de son parti, l’Union pour la Nation Congolaise (UNC). Accueil chaleureux, bain de foule… « c’est sûrement ce type d’images que ne voulait pas voir Joseph Kabila » dit-on du côté des supporters du l’UNC. Car  l’opposant congolais a bien failli ne jamais se poser dans la capitale du Nord-Kivu. Une série de « d’ennuis » judiciaires et administratifs ont en effet perturbé la tournée qu’avait prévu Vital Kamerhe à l’Est du pays. « La main de Kabila » dénonce son entourage. Retour en arrière sur une semaine décisive, qui a fait de Vital Kamerhe, l’opposant à abattre en République démocratique du Congo (RDC).
 
L’affaire Moleka refait surface
 
Tout commence le 5 février 2014. La justice congolaise ressort une ancienne affaire qui opposait Vital Kamerhe et la députée du parti présidentielle, Wivine Moleka, pour diffamation. Le président de l’UNC avait en effet accusé cette député de fraude lors des élections contestées de novembre 2011. Comble de l’affaire, c’est Kamerhe lui-même, alors qu’il était encore dans la mouvance présidentielle qui avait investi Wivine Moleka.

 La député s’était rétractée dans cette affaire, mais le ministère public a requis 3 ans de prison et la déchéance des droits civiques du dirigeant de l’UNC. « Wivine Moleka est instrumentalisée par le pouvoir pour empêcher Kamerhe de se présenter aux élections de 2016« , estime-t-on à l’UNC. « Trois ans de prison pour diffamation, on croit rêver !« .

Vendredi 7 février, dans la soirée, les trois juges de l’affaire Moleka se réunissent « sous pression » pour statuer sur le dossier Kamerhe mais refusent de condamner le patron de l’UNC et renvoi l’affaire devant le Tribunal de Paix de Ngaliema. Dans la nuit de jeudi 6 à vendredi 7 février, les ennuis continuent pour Kamerhe, qui est expulsé de la maison qu’il louait à l’Etat depuis 2004 à Kinshasa.
 
Première interdiction de quitter Kinshasa
 
Le vendredi 7 février au matin, le patron de l’UNC entreprend une tournée politique à l’Est du pays, fraîchement libéré des rebelles du M23.  Alors qu’il avait pris place dans un avion spécialement affrété pour se rendre à Goma, l’ex-candidat à la présidence, a été invité, après plus d’une heure d’attente, à redescendre. 

L’avion n’avait pas obtenu l’autorisation de décoller de l’aéroport de Ndolo, à Kinshasa. Dans un premier temps, Kinshasa évoquait « une facture impayée » , puis « un problème avec la compagnie aérienne« . Deux « prétextes » démentis par les proches de l’ancien président de l’Assemblée nationale, qui ont rapidement exhibé les factures du vol pour Goma. Le plan de vol, déposé à la régie des voies aériennes (RVA), avait également été validé et « toutes les formalités administratives avaient été remplies« .

Seconde interdiction

 
Le 9 février, Vital Kamerhe décide donc de se rendre à Goma par un avion d’une ligne régulière (CAA). L’opposant est cette fois-ci brièvement interpellé par la police des frontières pour ne pas avoir présenté ses papiers. Il sera retenu près de deux heures dans les locaux de la Direction générale des Migrations (DGM), avant d’être relâché… sans avoir pris son avion pour Goma.

S’ensuit une « explication » avec Richard Muyej, le ministre de l’intérieur, qui s’étonne de voir Vital Kamerhe vouloir partir à Goma alors qu’ils avaient rendez-vous le lendemain pour « préparer cette visite » confie-t-il à Radio Okapi. Dans l’entourage du leader de l’UNC, on s’inquiète de ces « tracasseries » à répétition et on craint l’arrestation pure et simple de Kamerhe.

L’Union européenne monte au créneau

 
La tension retombe après la rencontre entre Kamerhe et le ministre de l’intérieur le 12 février. La « caravane de la paix » pourra bien partir le 18 février, avec visiblement l’assentiment des autorités congolaises. Il faut dire que les ennuis du patron de l’UNC ont fait grincer quelques dents.
 
L’Union européenne (UE) est même sortie de sa léthargie pour dénoncer dans un communiqué « les entraves et les restrictions de déplacement dont certains responsables politiques de l’opposition ont été récemment l’objet« . L’affaire Kamerhe tombait en effet au plus mauvais moment pour les autorités congolaises. Le même jour devait être voté à la Commission électorale (Ceni) le code de bonne conduite pour « des élections apaisées » entre l’ensemble des partis politiques.
 
« C’est contre-productif »
 
Pourquoi cet « acharnement » sur Vital Kamerhe ? Du côté de l’UNC, on affirme que « Joseph Kabila (dont Kamerhe a été le directeur de campagne en 2006) veut éliminer politiquement un concurrent pour la présidentielle de 2016« . Mais la stratégie du régime paraît bien hasardeuse. Côté gouvernemental on accuse Kamerhe de « provocations » pour « jouer aux victimes » et se poser en « martyr de l’opposition« . Et si tel était le cas, on peut en effet dire que l’opération est réussie. Mais cet acharnement inquiète dans la majorité présidentielle.
 
Dans le cercle présidentiel, ils sont peu nombreux à comprendre cette « fixation » sur Kamerhe, « qui depuis la victoire de Kabila sur le M23 peinait à être audible« . « C’est contre-productif, si on voulait fabriquer un rival sérieux pour Kabila,  on ne s’y serait pas pris autrement ! » explique-t-on à Kinshasa.  « On a l’impression que Joseph Kabila veut régler un contentieux personnel avec Kamerhe, si c’est le cas, il joue contre son camp« .
 
Sur l’échiquier politique congolais, l’opposant Kamerhe, arrivé en troisième position à la présidentielle de 2011, vient de gagner en quelques jours ses galons de « leader » de l’opposition. Avec un Jean-Pierre Bemba en prison, un Tshisekedi muet et vieillissant, et un Kengo prêt à tout pour rejoindre la majorité présidentielle, Kamerhe vient de prendre une longueur d’avance pour 2016. 

« Ce qui voulait éviter Kabila, c’était que l’on voit que Kamerhe est plus populaire que lui à l’Est… c’est raté ! » nous confie un militant de l’UNC.  Christophe RIGAUD – Afrikarabia

Sud-Kivu :

la société civile exige l’ouverture d’une enquête après des incidents de Bukavu.

Radio Okapi,  le 23 février, 2014 à 9:57

 

 

Le bureau de coordination de la société civile du Sud-Kivu exige l’ouverture d’une enquête indépendante après des incidents survenus jeudi dernier à la place de l’indépendance à Bukavu, lors du meeting raté du président de l’Union pour la nation congolaise (UNC), Vital Kamerhe. Au cours d’un point de presse organisé samedi 22 février, cette organisation citoyenne demande que les coupables soient sanctionnés et que les autorités congolaises respectent la constitution de la République démocratique du Congo (RDC).

Cette organisation citoyenne demande aussi la tolérance politique du côté des partis politiques et l’observance des lois et principes qui les régissent.

« Aux autorités politiques nous recommandons de respecter la constitution ainsi que les autres textes légaux réglementant la vie politique en RDC, de respecter et de préserver les principes de la démocratie auxquelles notre pays a souscrit », a déclaré la vice-présidente du bureau de coordination de la Société civile du Sud-Kivu, Elie Matabaro.

Vital Kamerhe, président de l’UNC devait tenir un meeting jeudi 21 février à la place de l’indépendance. Cette manifestation a été relocalisée au stade de la Concorde. Ce qui n’avait pas enchanté les sympathisants de l’UNC, estimant que cet endroit était exigu pour contenir tous leurs militants. La police les avait alors dispersés, à base des gaz lacrymogènes et des balles tirées en l’air. Un mort et plusieurs blessés ont été enregistrés. Un bilan contesté par des sources officielles qui estiment qu’il n’y a pas eu de mort.

La Société civile a aussi demandé « aux forces de l’ordre d’être effectivement au service de la population et non à la solde des politiciens. Elle est au service de la nation congolaise et nul ne peut la détourner à ces fins tel que stipule l’article 183 de la constitution ».

Suspension du gouverneur du Sud-Kivu 

De son côté, la plate-forme politique « Sauvons la RDC » exige la suspension du gouverneur du Sud-Kivu et celle du maire de la ville de Bukavu qu’elle considère comme premiers responsables de ces incidents. Les membres de ce regroupement politique de l’opposition l’ont déclaré vendredi 21 février au cours d’un point de presse organisé à Kinshasa.
 
Le député Mayo de l’UNC a déclaré que la coalition rejetait la version officielle au sujet de cet incident. Selon elle, il y a bel et bien eu un mort et des nombreux blessés à Bukavu lors du meeting dispersé qui se déroulait dans le cadre de la campagne de la « caravane de paix ».

Il estime que seule une enquête internationale pourra élucider cette situation et établira les responsabilités de chacun.

La plate-forme « Sauvons la RDC » invite également ses membres à revenir à Kinshasa pour ne pas s’exposer « à l’atteinte de leurs intégrités physiques ».

« Nous demandons aussi à la délégation qui se retrouve dans l’Est de la RDC de revenir à Kinshasa afin de ne pas donner au pouvoir de monsieur Kabila l’occasion de porter atteintes à l’intégrité physique des citoyens congolais déjà meurtris par deux décennies de guerre aux causes inavouées dans l’Est du pays ainsi qu’ à leurs biens », a-t-il ajouté.

La coalition « Sauvons le Congo » est composée notamment de l’UNC de Vital Kamerhe, l’Ecide [Engagement pour la Citoyenneté et le Développement] de Martin Fayulu et d’une frange de la Société civile.

 

Vital Kamerhe frappe fort à Nyiragongo, Beni, Butembo et Bukavu

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TOUJOURS ENSEMBLE

UNC FEDERATION DE BELGIQUE/La cellule de communication

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21 février 2014 5 21 /02 /février /2014 08:22

Bukavu : La police a tiré sur le cortège de Kamerhe. Pourquoi?

 

Vital Kamerhe, président de l’Union pour la Nation Congolaise lors de son arrivée à Goma

Vital Kamerhe a-t-il échappé à une tentative d’assassinat ce jeudi 20 février à la Place de l’Indépendance à Bukavu? Il se confirme que la police kabiliste a bel et bien tiré à balles réelles sur la foule venue nombreuse pour écouter le président de l’Union pour la Nation congolaise. Bilan provisoire : plusieurs blessés graves. Selon des informations encore difficiles à vérifier, une ambiance d’"Etat d’urgence" régnait jeudi soir au chef-lieu du Sud Kivu.

Le film.

Arrivé à Goma mardi 18 février à la tête d’une délégation d’une vingtaine de personnes, Vital Kamerhe avait prévu de se rendre à Bukavu, sa ville natale, ce jeudi 20. Un meeting était prévu à la célèbre Place de l’Indépendance.

Dans une communication diffusée le mercredi 19 février via la station provinciale de la RTNC (radio d’Etat) et une radio communautaire, le maire de Bukavu, Philémon Yogolelo, avait prévenu les membres et sympathisants de cette formation politique de ne pas se rendre à la Place de l’Indépendance. Au motif qu’il y aurait "des travaux en cours". "Faux", constatait un reporter de la Radio Okapi. En lieu et place des maçons occupés à travailler, les passants ont assisté au déploiement d’une escouade de policiers équipés de leur attirail.

C’est aux environs de 16h30 locales que l’aéronef transportant la délégation de l’UNC a atterri à Bukavu. Un témoin raconte : "Vital Kamerhe est arrivé à pieds à 500 mètres de la place de l’Indépendance. La population et des sympathisants de l’UNC décident de le porter sur une chaise traditionnelle dite tipoye. Un convoi de voitures et motos long de deux kilomètres suit. Des acclamations fusent. "Ceux qui avait pensé que Kamerhe ne mettra pas les pieds à Bukavu en ont eu pour leur compte", scandent en chœur des sympathisants. La place de l’Indépendance est noire de monde lorsque le président Kamerhe posa ses pieds sur la Place. Une première détonation retentit vers 17 heures : Boum! D’autres vont suivre. Des tirs à balles réelles crépitent et des bombes lacrymogènes sont lancées. C’est le sauve-qui-peut général!" Selon cette source, "Vital" a eu la vie sauve grâce au professionnalisme de sa garde rapprochée "qui l’a cloué au sol le temps de laisser passer "l’ouragan".

Un mauvais signal pour "la jeune démocratie congolaise"

Ce qui s’est passé ce jeudi 20 février 2014 à Bukavu est un mauvais signal non seulement pour la "jeune démocratie congolaise" mais surtout pour les consultations politiques à venir dont la présidentielle de 2016. Ces événements engagent la responsabilité personnelle d’un "Joseph Kabila" décidé à s’accrocher au pouvoir pour le pouvoir. Des questions restent sans réponse : Pourquoi le maire de Bukavu a-t-il interdit l’accès à la Place de l’Indépendance? Qui a ordonné de tirer sur la foule? Pourquoi? Pourquoi...

Selon une dépêche de l’AFP, "plusieurs personnes ont été blessées par des tirs des policiers. Au nombre de cent. "Après voir utilisé des gaz lacrymogènes, les policiers ont tiré sur la manifestation, qui rassemblait plusieurs milliers de personnes, selon l’estimation du journaliste de l’AFP ayant assisté à la scène. Celui-ci a ensuite vu cinq blessés à l’hôpital Celpa de Bukavu", souligne la dépêche.

La "caravane de paix" prônée Kamerhe s’est muée en une tragédie par la bêtise humaine. Par la bêtise d’un pouvoir kabiliste qui ne survit que par la violence, l’arbitraire et l’intimidation. le président de l’UNC a été le premier à regretter "la tournure prise par les événements". Il a également fustigé l"’irresponsabilité" des autorités provinciales chargées du maintien de l’ordre. Question finale : Vital Kamerhe a-t-il échappé à une tentative d’assassinat jeudi 20 février à Bukavu? Certains membres de l’UNC répondent par l’affirmative. Selon eux, le "commanditaire" est "bien connu"...

Baudouin Amba Wetshi (avec AFP et Radio Okapi)
© Congoindépendant 2003-2014

 
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19 février 2014 3 19 /02 /février /2014 12:44
media Vital Kamerhe, candidat à la présidentielle du 28 novembre 2011, lors d'une conférence de presse. RFI/Bruno Minas

Vital Kamerhe, candidat malheureux à la présidentielle de 2011 et chef d’un des principaux partis d’opposition en République démocratique du Congo (RDC) est finalement arrivé, ce mardi 18 février, à Goma. Le Chef de l’Union pour la Nation Congolaise (UNC) avait été empêché début février, à deux reprises, par les autorités congolaises de quitter Kinshasa. Il démarre, ce mardi, une tournée de plusieurs jours dans l’est du pays. Avec d’autres opposants ainsi que des acteurs de la société civile il va mener « une caravane de la paix » qui a tout l’air d’un premier rendez-vous de campagne électorale.

Routes bloquées, des centaines de personnes postées le long de l’avenue, Vital Kamerhe parcourt Goma à pied, exactement comme Joseph Kabila en décembre. Mais en chemise blanche et rouge, aux couleurs de son parti, l’ex-proche du président congolais se positionne aujourd’hui comme son plus farouche opposant.

« Il n’y a pas de concurrence à faire au président Kabila, parce qu’il avait dit lui-même qu’il fallait respecter la Constitution. Il n’est pas candidat aux élections de 2016. Son mandat prend fin le 19 décembre 2016 », a déclaré Vital Kamerhe.

Le ton est donc donné. Un peu plus loin sur un grand terrain de foot, des milliers de personnes attendent l’opposant déjà en campagne. Les sympathisants sont au rendez-vous, comme Stéphanie, 26 ans : « Ça fait maintenant plus de cinquante ans que nous avons obtenu notre indépendance et c’est toujours la cata. Et pour moi, lui, il me donne vraiment envie de croire encore que le Congo peut changer et ça peut aussi évoluer ».

Vital Kamerhe tient alors un meeting pendant deux heures pour remercier l’armée de sa victoire contre le M23, appeler les rebelles à désarmer, mais aussi fustiger l’absence d’électricité dans le pays. Autant de sujets qui font écho.

« Parce que nous en avons assez ! Ils n’ont absolument rien fait jusqu’à présent. Moi, j’ai six enfants, je suis en train de me débrouiller par-ci par-là, pour chercher comment faire étudier mes enfants », explique Blaise, 30 ans, venu de Rutshuru.

La caravane est lancée. Prochaine étape : Béni, ce mercredi.

La population a besoin de consolider la paix. Elle a besoin d’un leadership éclairé, rassembleur, visionnaire qui doit redorer l’image du Congo, un grand pays au cœur de l’Afrique.
Vital Kamerhe Chef de l’Union pour la Nation Congolaise (UNC) 18/02/2014 - par Léa-Lisa Westerhoff
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13 février 2014 4 13 /02 /février /2014 08:25

 


 

Vidéo : Compte-rendu des réunions entre le Ministère de l'Intérieur et l'UNC et Alliés

  

Vidéo : Goma mobilisée pour l'arrivée de Vital Kamerhe

  

SOCIETE CIVILE DE LA REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO

COORDINATION PROVINCIALE DU NORD-KIVU

Tél. : (+243) 994 410 534/  993 535 353 /  813 179 957

E-mail : societecivilenk@yahoo.frthdaquin@yahoo.frmaitrekavota@gmail.com, justinemasika@gmail.com  

           

 

COMMUNIQUE DE PRESSE DE LA SOCIETE CIVILE DU NORD-KIVU AU SUJET DE RESTRICTIONS DES MOUVEMENTS A CERTAINS CADRES DE L’OPPOSITION CONGOLAISE

 

 

C’est avec très une grande attention que la Coordination Provinciale de la Société Civile du Nord-Kivu suit les alertes de certains Cadres de l’Opposition Congolaise décriant de la part du pouvoir central des restrictions quant à leurs mouvements.

 

Notre Structure, considérant également le récent Communiqué publié par le Bureau de représentation de l’Union européenne en RDC, estime qu’il y a lieu d’en attirer l’attention du Chef de l’Etat ; cela d’autant plus que cette situation risque de ternir l’image de la démocratie congolaise et surtout sa détermination à pouvoir consolider comme jamais au par-avant la cohésion nationale.

 

Par ailleurs, la Société Civile du Nord-Kivu encourage les pourparlers qui se poursuivent  entre le Ministre National de l’intérieur et Monsieur VITAL KAMERHE (Président de l’UNC) en vue de faciliter, tel que souhaité par ce dernier, son déplacement vers l’Est du pays.

 

Enfin, notre Coordination formule le vœu de voir régner dans le chef des acteurs politiques congolais un climat de tolérance, de retenu et de respect des valeurs démocratiques en cette période, afin que le processus électoral en cours soit le plus apaisé possible.

  

Ainsi fait à GOMA, le 12 Février 2014 ;

 

Pour la Coordination de la Société Civile du Nord-Kivu,
 
 
Mr. Thomas D'AQUIN MUITI, Président
 
Maître OMAR KAVOTA, Vice-président et Porte-parole
 
Mme Justine MASIKA, 2e Vice-présidente
 

--
TOUJOURS ENSEMBLE

UNC FEDERATION DE BELGIQUE/La cellule de communication

www.unc-belgique.be

00:11:27
Ajoutée le 12/02/2014
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12 février 2014 3 12 /02 /février /2014 08:34
10/02/2014 à 20:37 | AFP
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RDC : l'UE appelle au respect des droits de l'opposition  © AFP

La délégation de l'Union européenne en République démocratique du Congo a appelé lundi au respect des droits de l'opposition après des incidents impliquant notamment Vital Kamerhe, un ancien candidat à la présidentielle de 2011, indique un communiqué de cette délégation publié lundi soir.

"Dans la perspective des prochaines élections locales, provinciales, législatives et présidentielle d'ici à novembre 2016, il est important de protéger l'exercice de la liberté d'expression, de respecter les droits de l'opposition, d'assurer un espace politique ouvert et de garantir la liberté de mouvement ainsi que l'indépendance et l'impartialité de la justice", écrit-elle.

La délégation européenne fait notamment part de son "inquiétude" concernant des "entraves et des restrictions de déplacement dont certains responsables politiques de l'opposition ont été récemment l'objet". Selon elle, "le dernier cas en date concerne le président de l'Union pour la Nation Congolaise (UNC), M. Vital Kamerhe".

Vital Kamerhe, arrivé troisième à l'élection présidentielle contestée de 2011, s'est vu refuser vendredi et dimanche de se rendre en avion à Goma (est), où il prévoyait de lancer une "caravane pour la paix" dans cette région déchirée par les conflits depuis une vingtaine d'années.

L'UNC avait dénoncé en janvier l'existence d'une note interne à la Direction générale de migration (DGM) interdisant "de quitter le territoire" à M. Kamerhe, ex-meilleur allié du président congolais Joseph Kabila, et aujourd'hui l'un de ses opposants les plus actifs. Le gouvernement a assuré que ce document était un faux et qu'une enquête était en cours.

La délégation européenne a par ailleurs "noté les résolutions récentes par lesquelles l'Union Interparlementaire a exprimé sa préoccupation sur plusieurs cas de harcèlements récents à l'encontre de parlementaires", mais n'a pas précisé les élus auxquels elle faisait allusion.

"Les partis politiques doivent être à même de jouer le rôle prévu par la Constitution de la République démocratique du Congo. Nous continuerons à suivre le processus électoral de très près", a prévenu la délégation.

Les élections présidentielle et législatives du 28 novembre 2011 ont été remportées par le président Kabila et les partis qui le soutiennent, mais elles ont été entachées de nombreuses irrégularités relevées par des missions d'observation nationales et étrangères, qui ont jugé les résultats "non crédibles".

En décembre 2012, l'UE avait souligné qu'elle "réévaluerait son soutien" à la RDC en fonction des "prochaines étapes du processus démocratique congolais".

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11 février 2014 2 11 /02 /février /2014 14:34



































































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SOURCE CONGOINDEPENDANT 2014

Horizon 2016 :

 

 

Photomontage : "Joseph Kabila" et Vital Kamerhe, son ex-bras droit devenu l’opposant au régime

C’est du guignol ! La politique avec un tout petit «p». Jeudi 6 février, l’opposant - et ancien proche parmi les proches de «Joseph Kabila» - Vital Kamerhe est déguerpi d’une maison de l’Etat qu’il occupe à titre onéreux depuis 2004. Une simple instruction écrite du ministre des Médias Lambert Mende Omalanga donnée à l’inspecteur provincial de la police provinciale de Kinshasa, le tristement célèbre Kanyama Bilolo a suffi. Vendredi 7 février, l’avion affrété par Kamerhe pour se rendre à Goma, au Nord Kivu, où il se proposait d’organiser une «caravane de la paix» est interdit de décoller. Les responsables de la Régie des voies aériennes et ceux de l’Aéronautique civile se sont rejetés la responsabilité. In fine, on ne sait qui est responsable de quoi. Dimanche 9, l’opposant et sa suite sont empêchés de prendre un vol de la compagnie aérienne «CAA». «Vital» assure qu’il avait accompli toutes les formalités. «Il est monté dans l’avion sans avoir accompli les formalités», soutient le ministre de l’Intérieur, le PPRD Richard Muyej. Chacun est libre d’aimer ou de ne pas aimer le président de l’Union pour la Nation Congolaise. Il reste que dans les faits décrits ici, «Joseph Kabila» et ses "petits soldats" viennent de confirmer une réalité. A savoir : le Congo dit démocratique est bel et bien dirigé par une bande de «petits messieurs». Des hommes sans foi ni loi. C’est un combat à la David et Goliath qui est engagé entre Kamerhe et "Kabila". L’enjeu paraît clair : l’année 2016 qui marque la fin du deuxième et dernier mandat de l’actuel chef de l’Etat. L’Histoire montre que Goliath était invaincu mais pas invincible...

Dans son ouvrage intitulé «Le sourire de Mandela», publié aux éditions du Seuil, le journaliste John Carlin affecté en Afrique du Sud après dix années passées en Amérique latine relate son premier contact avec Nelson Mandela devenu président de la République sud-africaine : «Mandela a complètement changé mon point de vue, écrit-il. Grâce à lui, j’ai quitté l’Afrique du Sud convaincu qu’en fin de compte la possibilité d’exercer le pouvoir avec noblesse et sagesse n’était pas exclue de l’horizon de l’humanité.» Et d’ajouter : «Presque partout aujourd’hui, nous ne rencontrons que médiocrité, fanatisme et lâcheté morale, et notre confiance dans les dirigeants politiques est au plus bas.» Ce qui aura le plus surpris ce journaliste c’est bien le fait que malgré vingt-sept années passées en captivité, «Madiba» est demeuré "généreux" et "sage" et déterminé à «lutter pour un monde meilleur». Il a noté chez le président Mandela ni «excès de triomphalisme», ni
«arrogance» ou «grandiloquence». N’est pas Mandela qui veut !

Après lecture d’un tel témoignage, la tentation devient irrépressible de conclure, non sans raison, que la vie politique au Congo démocratique de «Joseph Kabila» vole bas. Très bas. La cause saute aux yeux : la médiocrité des gouvernants en place. L’objectif ici n’est nullement de prendre la défense d’un individu. Il s’agit de défendre des principes. Des valeurs qui servent de repères à toute société humaine décidée à se frayer une place dans le petit cercle des nations qui gagnent.

Dix-sept années après la prise du pouvoir par les «libérateurs» du 17 mai 1997, les Congolais attendent désespérément de vivre enfin dans un pays pacifié. Un pays où l’on peut vivre ensemble avec le maximum d’harmonie. Une telle pacification dépend plus que jamais de la mise en oeuvre d’une politique volontariste de réconciliation nationale, de tolérance fondée sur le respect des différences et la démocratie. Les composantes de la démocratie sont bien connus : séparation des pouvoirs, élections périodiques, primauté du droit, respect de la personne humaine, liberté d’expression, culture de rendre compte.

Les tracasseries politico-policières auxquelles fait face Kamerhe mettent en exergue l’incapacité de "Joseph Kabila" à honorer sa signature apposé notamment sur l’Accord-cadre de paix signé le 24 février 2013 à Addis-Abeba. Ce texte exhorte les dirigeants congolais à promouvoir la réconciliation nationale, la tolérance et la démocratie.

Déguerpissement. «Nul ne peut se faire justice soi-même». Ce principe est universellement connu des étudiants de la première année en droit. L’ex-opposant anti-mobutiste Lambert Mende qui prétendait militer pour l’avènement d’un Etat démocratique et respectueux des droits humains pouvait-il l’ignorer ? L’homme trouve des mots pour défendre l’indéfendable et justifier l’injustifiable en commettant l’arbitraire. L’expulsion de Kamerhe de la maison de l’Etat au mépris de la procédure en la matière relève de l’arbitraire. Fort d’une instruction venue sans aucun doute d’une «haute hiérarchie» qui se prend pour l’Etat, Mende est passé outre l’exigence de recourir à une autorité judiciaire compétente. «Joseph Kabila» qui a juré d’«observer et de défendre la Constitution et les lois de la République» a trahi, une fois de plus, son serment en foulant aux pieds notamment l’article 66 de la Charte fondamentale : «Tout Congolais a le devoir de respecter et de traiter ses concitoyens sans discrimination aucune et d’entretenir avec eux des relations qui permettent de sauvegarder, de promouvoir et de renforcer l’unité nationale, le respect et la tolérance réciproques.»

«Nous voulons récupérer la maison de l’Etat, voilà tout». C’est tout ce Mende a trouvé à dire arguant que Kamerhe avait reçu dès 2010 notification d’un préavis de trois mois. Comment expliquer que le ministère de l’Urbanisme, émetteur de ce préavis ait attendu trois ans ? Est-il vrai que l’ancien vice-président de la République Azarias Ruberwa occupe depuis une dizaine d’années une villa appartenant à la Banque centrale du Congo? A-t-il reçu un préavis de vider les lieux?

A voir le traitement humiliant infligé à un homme qui a été successivement secrétaire général du PPRD, directeur de campagne de « Joseph Kabila » lors de la présidentielle de 2006 et président de l’Assemblée nationale, on n’ose imaginer ce qu’aurait pu endurer le citoyen lambda.

Le voyage raté aux aéroports de Ndolo et Ndjili . Le président de l’UNC et sa suite ont été empêchés de se rendre à Goma le vendredi 7 février par un avion affrété à la compagnie «Malu aviation» à partir de l’aéroport de Ndolo. Le même scénario s’est reproduit le dimanche 9 alors que le groupe allait embarquer dans un vol commercial de la compagnie aérienne «CAA».
«On s’était convenu de se rencontrer le lundi ou le mardi pour planifier son voyage parce qu’il fallait éviter d’envenimer la situation au vu des turbulences constatées suite à l’incident de Ndolo, mais voilà qu’il se rend ce dimanche à l’aéroport [de N’djili], malgré tout cela». Qui parle? Le ministre Muyej. Quelles sont les formalités à accomplir pour effectuer un voyage dans l’arrière-pays?

Depuis sa rupture avec le parti présidentiel et la «majorité» en mars 2009, Vital Kamerhe et le «raïs» s’observent. Les «petits soldats» de la «Kabilie» prennent plaisir à guetter les faits et gestes de l’ancien président de l’Assemblée nationale. Il a suffi que «V.K» annonce son projet de visite à l’Est, à partir de la ville de Goma, pour que «Joseph Kabila» se souvienne de son rôle de «garant de la nation» à qui incombe le devoir d’aller réconforter les populations de cette partie du pays après la victoire de l’armée congolaise sur les rebelles du M23. "Kabila" n’a mis les pieds à Goma qu’à la fin du mois de novembre 2013 alors que les affrontements entre les FARDC et le M23 ont débuté en avril 2012. Les Gomatraciens lui réservèrent un accueil glacial.

L’enjeu : Horizon 2016. C’est un secret de Polichinelle de relever une fois de plus que "Joseph Kabila" vit une sorte de psychodrame. L’homme est tourmenté par la fin de son second et dernier mandat. A plusieurs reprises, "Vital" a rappelé haut et fort que le mandat présidentiel prendra fin le 19 décembre 2016. Les services dits d’études stratégiques de la Présidence envisageraient une solution à la "Poutine/Medvedev". Il semble que "Joseph" n’aurait pas trouvé mieux que son épouse "Olive" pour jouer le rôle de Medvedev.

Secrétaire général du PPRD, Evariste Boshab avait lancé sous la forme d’un ballon d’essai son fameux ouvrage préconisant la révision de la Constitution au risque que la nation meurt d’inanition. Dans une réplique magistrale, le professeur André Mbata Mangu répliquait : "Evariste Boshab menace et prédit que la Nation mourrait certainement par «inanition» si on ne révisait pas la Constitution et plus précisément si le président ne recevait pas un troisième mandat par «révision totale» de la Constitution ! Il oublie ce qui pourrait aussi se produire au cas où le peuple recourait à l’article 64 qui l’oblige à faire échec à tout celui qui prend le pouvoir et l’exerce en violation de la Constitution". Il ajoutait : "Les chefs d’Etat devraient cesser d’écouter et écarter de leurs entourages tous ceux qui les empêcheraient d’inscrire leurs noms en grands caractères dans l’Histoire. Tout mandat a une fin. Il faut quitter le pouvoir avant que le pouvoir ne vous quitte". "Joseph Kabila" et ses "petits soldats" restent sourds.

On apprenait vendredi 7 février que le tribunal de grande instance (TGI) a renvoyé le dossier judiciaire opposant Wivine Moleka Nsolo à Vital Kamerhe à la Cour suprême de justice. Etrangement, le TGI n’a pas statué sur le fond. Pire, cette juridiction est restée muette sur le réquisitoire prononcé par le représentant du ministère public qui réclamait trois ans de prison ferme à l’encontre de "Vital". Il va sans dire que l’inéligibilité du candidat Kamerhe aux prochaines élections est le nœud du problème. Connaissant "Joseph Kabila" et le système dont il a contribué autrefois à mettre en place, "Vital" a eu ces mots : «Mon acte de condamnation a déjà été signé par le président Kabila". En attendant, c’est la lutte finale!

Baudouin Amba Wetshi
© Congoindépendant 2003-2014

 
33 Réactions
gregory Bobob dadi [bobodadi1@hotmail.com] 09/02/2014 22:04:46
Je suis tout à fait d’accord avec cette analyse. Seulement nous devons empecher ce mégalomane...Comment?
kolomabele [babeha1@yahoo.fr] 09/02/2014 23:04:39
BAW,
C’est vrai, notre pays est dirigé par une bande des << petits messieurs >>, en fait, des crétins. Je n’ai pas la carte de l’UNC et je ne cherche pas à l’avoir. L’acharnement dont Kamerhe est victime est d’ordre politique. Au regard d’énormes services que Kamerhe a rendu à Kabila, le Président national de l’UNC ne mérite pas ça. Qu’en pensent vraiment les anciens camarades de Kamerhe au PPRD et à l’ex l’AMP? Il y en a qui ne sont pas moralement d’accord avec les kabilistes de l’extrême droite. Mais pour les raisons du "ventre", ils se taisent. Bango bakolia Kamerhe?
Le but recherché par cette guerre contre Kamerhe: c’est anéantir un adversaire politique sérieux qui menace le tabouret présidentiel de Kabila. Les factures impayées? Si Kamerhe les avait toutes réglées, c’est cet argent qui allait renflouer les caisses de l’Etat?
Les ressources naturelles sont pillées à l’Est du Congo et leur valeur estimée à plus d’une dizaines des milliards de $. Des entreprises minières au Katanga payeraient les taxes au dessous des sommes qu’elles doivent au trésor public. 98% de l’or congolais seraient exportés frauduleusement. Des mines de cuivre achetées et revendues en dessous de leur valeur réelle. Il en est de même des nos ressources pétrolières.
Kabila et ses petits soldats ne disent rien à ce sujet. Le peuple congolais l’apprend par les experts de l’ONU, les Ongs et la presse internationale.
Pour une poignée des dollars que Kamerhe devait payer(ce qui équivaut , en fait, à l’argent de poche de Janet et Zoé Kabila pour le week-end), on mobilise la police, la presse...c’est tout simplement fou.
kolomabele [babeha1@yahoo.fr] 09/02/2014 23:36:37
Olive Lembe Présidente? Décidément, le trône présidentiel congolais, c’est comme le banc d’un parc, ou la chaise du cabinet d’un médecin sur lesquels n’importe qui peut s’asseoir. Elle est très généreuse qu’on nous dit. Mais où puise-t-elle l’argent de toutes ses libéralités? N’ est- ce pas l’argent du trésor public, donc notre argent à nous tous? L’épouse d’un président américain, français, ou d’un premier ministre anglais peut-elle se permettre ce genre de générosité?
BAW, nos dirigeants ne rendent pas compte au peuple parce que celui-ci ne les lui demande pas. C’est pas dans notre culture.
En Bosnie, le chômage concernerait 44% de la population. Les dirigeants seraient corrompus. Le peuple est descendu dans la rue et a même attaqué les locaux de la présidence, symbole du pouvoir.
Au Congo, le chômage touche plus de 90% de la population. La corruption est un sport national à tous les niveaux, jusqu’au sommet. Le Raïs n’a jamais été aussi adulé par ces chômeurs à vie. C’est dingue.
Metteur de l’Ordre [congolais@hotmail.com] 09/02/2014 23:45:03
Je n’ai personnellement aucune sympathie pour Monsieur Vital Kamerhe, le Frankenstein congolais.

C’est lui qui a crée ce monstre, et l’a baptisé "Joseph Kabila Kabange". Non seulement il nous a dit que la mère putative de ce montre s’appelle "Maman Sifa" et son père "Laurent-Désiré Kabila", il a eu le culot d’écrire un livre intitulé "Pourquoi j’ai choise Joseph Kabila" pour nous expliquer les prouesses de ce monstre.

Et voilà subitement que le docteur Frankenstein Kamerhe n’arrive plus à maîtriser le monstre qu’il lui même a créé dans son laboratoire du AFDL, RCD, CNDP, M23 et PPRD.

Je lui souhaite quand même bonne chance.

Dr. Alidor Sema [alisema@yahoo.fr] 10/02/2014 00:36:58
Comme les Amercains aiment le dire: "This is the Big One...The Battle of Titans" (Interpretation: La Bataille des Batailles).

"Jo Kabila" oeuvrant a travers ses milices & voyous au sein de la Police (dont Kanyama), ANR (dont Kalev) et au Gouvernement (dont Mende et Muyej) s’acharne sur V Kamerhe qu’il considere plus dangereux pour sa "survie" en 2016 que meme E Tshisekedi !

Et pour cause. V Kamerhe connait "trop de secrets" sur le bandit- imposteur au sommet et son parcours (criminel) anterieur...

Conseil a V-K: Devoile tout ....et les Congolais reconnaissants te sauveront des griffes de cette Maffia au sommet...!
Patrice Mutakatifu [patmut@yahoo.fr] 10/02/2014 00:53:46
Cher BAW, le calcul du Tricheur recidiviste au sommet est simple:

"Effacer le Tableau" a l’Est....Donc se debarrasser des "emules" genants - et surtout quand il s’agit du "vrai fils du coin" - afin que le mec qui se fait appeler faussement "Kabila" puisse se taper encore "110% des votes" en 2016...comme en 2011...et en 2006 !

Question aux Congolais - et surtout a nos compatriotes de l’Est:

Jusqu’a quand allons-nous laisser cet energumene nous prendre pour des "CONS"...Ses 13 ans (et 15 ans en 2016) au sommet inbus des tricheries, vols, viols, et tueries n’auront-ils pas suffi pour nous revolter contre cette Voyoucratie sanguinaire?
EKOPI [azab1@hotmail.co.uk] 10/02/2014 00:59:05

Bonjour!

Cette comédie- politique entre Kamerhe et son imposteur de chef ne constitue pas un événement.

Kamerhe paie les inconséquences de sa trajectoire politique assez opportuniste. C’est pas un homme politique exemplaire.

Personne de sérieux ne peut s’apitoyer sur son cas. C’est un "collabo" comme un autre. C’est l’histoire de serpent qui se mort la queue, autant le laisser mourir de son propre venin!

Tant pis pour lui
MBUTA [mbuta@yahoo.fr] 10/02/2014 02:32:57
Le petit serpent de Kanambe est un petit homme sans foi ni loi. De la même façon que j’ai pitié pour Olive Lembe l’empoisonée et Kamerhe le condamné qui ont aidé à faire de ce petit monstre ce qu’il est devenu aujourd’hui, je plains également les pauvres politiciens congolais qui risquent de subir le même sort. Samba Kaputo et Katumba Mwanke pour ne citer que ceux là en savent quelque chose. Mais c’est comme si tout le monde était aveuglé. Un message spécial à Olive Lembe ( Yaya pour les intimes), pourquoi es ce que tu dois attendre la mort sans broncher, tire la première et vite.
DIERTO toronto [solutionplus01@yahoo.com] 10/02/2014 05:12:45
Republique des copains comiques. les loups se manges entre eux sous les regards amusés de leur maitre commun. La Rdc a besoin d’une alternative et non d’une alternance. Blanc bonet bonet blanc. Ne deshabillons pas ST Pièrre pour habiller ST Paul. Kamheré lui meme a dit c’est le baptème de feu, ils ont compris en haut lieu qu’il faut qu’il fasse le parcour d’un bon et vrai opposant, càd tracasseries, humiliation, il reste bastonade publique, emprisonnement et relégation voyons voir jusqu’ou ils iront.
mamale [mamale@live.fr] 10/02/2014 05:36:45
C’est plutôt la distraction finale!
pio [piokabengele@hotmail.com] 10/02/2014 05:48:59
La radio Okapi fait bien de rappeler que Vital Kamerhe avait critiqué les opérations militaires rwandaises en 2009. IL avait diot publiquement que Joseph Kabila remettait en force les fameux accords de Lemera, par lesquels le Rwanda avait reçu des promesses sur le territoire et sur les richesses naturelles de l’ Est du Congo. Il avait exigé que le gouvernement soit interpellé. Il avait été obligé de démissionner.
La suite des évènements lui a donné raison. Les accords de 2009 ont accouché du M23 et de la crise politique, sociale et humanitaire actuelle. Avec ce passé-présent lié à Kabila, Kamerhe serait un vrai étendard pour l’ alternance et l’ opposition devrait le prendre comme porte-parole institutionnel.
Mercicongo [mercicongo@yahoo.fr] 10/02/2014 07:32:17
A mon avis, il s’agit là d’un concert de * Vuvuzela Musica* dont Kanambe test ses Atalaku. Souvenez-vous chers compatriotes que la Musique en RDC est devenue selon Kanmabe, l’arme de distraction massive. Qui dit Musique dit chantres, danses, bruits et attroupement d’hommes. Il y a de puis toujours, Mende, le vuvuzela national. Et voilà que Kanmabe nous lance deux Katangais ( M & M). Qui veut être Mr satellite pour remplacer Mende ? Voilà la vraie distraction nationale.
1. Depuis quand un ministre de l’intérieur gère le voyages des acteurs politiques ?
2. Pour voyager à l’intérieur de son pays, a-t-on besoin d’un passeport ?
3. Kamerhe qui loue une maison de l’Etat, s’acquittait de ses loyers. Pourquoi l’a-t-on délogé sans préavis ?
4. Pourquoi revenir sur le contentieux post électoral si réellement la victoire de Kanambe était certaine set que tout fut bouclé ? Revenir sur un conflit qui trouve sa source aux élections frauduleuses montre que E. Tshisekedi est et reste toujours le président élus et que vos parlementaires ne sont que le fans de Vuvuzela musica!
Au finish, on comprend que les musiciens Congolais ne distraient plus la masse et que Kanambe ne sait plus détruire massivement le Congo, il veut créer un conflit entre l’Est ( Nord, Sud Kivu et Maniema), le sud -Est aussi avec le Katanga puis la capitale Kinshasa. Kanambe ne sait plus par où débuter une nouvelle rébellion. Résultat : il transforme Kamerhe en souris. Il n’y a rien. C’0est de la distraction massive. Quelle honte pour nous et surtout pour les Belges dont Louis Michel * le mabundi du plat pays* ? Comme toujours, le peuple observe et ne réagit pas. Ngoo!
kolo budget [kolobudget@outlook.com] 10/02/2014 07:34:57
Je n’ai jamais ete un grand fanatique de Vital K mais s’il fallait choisir entre un analphabete et un licensie en sciences econmiques, je pense que le choix est clair.Il faut un minimum de connaissance pour etre capable de traiter un dossier aussi contentieux que le Congo.Pour le moment le Congo est gere comme une epicerie.Il ne faut pas avoir etudie pour gerer une epicerie!Kabange doit mourrir de rire parfois quand il voit comment les congolais se prostituent pour des miettes et laissent notre peuple croupir dans une souffrance indescriptible!Je pense particulierement a Mende, Kimbuta, Kengo, Kalombo, Bababaswe, Kalev, Kanyama, Katumbi, Boshab, Minaku, Muzito, Numbi, et j’en passe.Un jour nous allons leur regler leur compte.Je ne suis pas inquiet pour Kabange.Il va fuir et rejoindre sa mere patrie avec son clan.Mais nos freres congolais ou iront ils?
J’en ai marre des paroles vides qui nous viennent de Limete.Nous avons besoin d’une revolution par le sang.Le sang doit couler pour liberer le Congo.
AVEUGLE [aveugle@yahoo.fr] 10/02/2014 07:42:45
Nous pouvons tout dire, mais, il nous manque un type courageux de la trempe de "YA TSHITSHI" pour reveiller la population et la mettre sur la rue en vue de dire non à une nouvelle forme de dictature qui commence à s’implanter doucement...
Ndaya [Ndaya@yahoo.fr] 10/02/2014 08:20:38
Vital Kamerehe: " pourquoi j’ai choisi Joseph Kabila".

Kamerhe n’a qu’a s’en prendre a lui meme en defendant l’indefendable. Tout comme Kamerhe, l’on se posera demain la meme question concernant Mende Lambert lorsqu’ il ne sera plus ministre.
christian [chriisraela@live.fr] 10/02/2014 10:02:54
Quand on a pactisé avec Lucifer devenu Satan, la suite est connue d’avance. Il donne avec sa main gauche au moment où la droite prépare un coup de poing. Kamerhe croyait qu’en soutenant Kabila à tue-tête, il était devant un saint. Qu’est-ce que Kamerhe n’a pas fait pour que Kabila gagne sur Bemba. Il a organisé des coups bas contre Bemba. Il se croyait être au paradis à côté de Lucifer.
Kamerhe a brouillé les cartes pour que Tshisekedi ne gagne pas les élections. Il aurait dû rester en réserve et attendre 2016, Tshisekedi vieillissant allait faire comme Mandela. Mais Kamerhe a préféré aller à l’élection.
Aujourd’hui, Lucifer réclame ses comptes car il n’a jamais aimé que celui qui le servait se repente pour servir Jésus. Il organise des attaques en règle. Kamerhe le sait bien, il connaît très bien Kabila avec ses méthodes. Ils étaient ensemble quand Kabila cherchait à éliminer Bemba. Kamerhe n’a qu’à s’assumer. Il va récolter son manque d’analyse d’un profil ex nihilo qu’il a soutenu par la simple envie du pouvoir.
dibenso [don_diego_dib@yahoo.fr] 10/02/2014 10:02:55
Le boomerang acheté a 0.50 usd au marché aux puces mal lancé revient te couper la tête, Kamerhe paie les inconséquences de sa trajectoire politique assez opportuniste & amateuriste, son seul mérite est d’avoir dénoncé haut & fort l’entrée des troupes étrangéres sans l’aval du parlement a part ça il a crée & faconné Kabila au point d’écrire un livre" pourquoi j’ai choisi Kabila" opportuniste de temps présent sans aucune conviction politique et opposant aujourd’hui par défi et le comble ce qu’il veut prendre les congolais a temoins pour être compatissant envers lui quand les choses tournent mal pour lui par rapport a un systéme que lui même a créer!!!!l’histoire se répéte a chaque fois dans ce pays on ne se sert pas du passé pour avancer c’est bien dommage pour nous congolais comme on dit c’est pas avec du vieux qu’on construit du neuf! reveillons nous peuple congolais!
Nkomi Mbuta [nkomimbuta@gmail.com] 10/02/2014 10:22:00
Quel histoire !!!
Ce fait me rappelle l’ histoire de ce savant fou qui avait mis au point un robot humanoide . Avec le temps ce dernier fini par devenir incontrôlable et se montre même menaçant jusqu’ à prendre la place de son maître .
Kanambe est un inculte que Kamhere a voulu nous faire passer pour un génie . Maintenant que sa création devient incontrôlable qu’ il se débrouille pour le maîtriser .
Que tous ceux qui ont des états d’ âmes se souviennent du livre intitulé : "Pourquoi j’ ai choisi Joseph Kabila "sans oublier les diplômes qu’ aurait décroché Kanambe au fameux université de Washington .
Certains parmi nous ont la mémoire courte ...
Jo Bongos [jo.bongos@msn.com] 10/02/2014 11:06:40
Prenez une bière, mettez-vous devant cet écran virtuel et savourez ! Le spectacle est gratuit, vaudevillesque, en plus.

Jo Bongos
boenga dieudonné [boenga78@hotmail.fr] 10/02/2014 12:19:37
décidément, nous les congolais, nous sommes un peuple à part.pendant que la maison Congo brûle, nous sommes là en train de reprocher à vital kamerhe son passé avec kabila. mais regardez bon sang,l’avenir de notre pays qui est en train d’exploser de toute part au lieu de nous en mettre plein la gueule comme à l’accoutumer avec des querelles sans fin.
lui au moins il tente,il veut que les choses bougent quoi qu’en disent.il se bat,et il le fait au vues de tout le monde.
apportons lui notre soutiens,au lieu de petites querelles sans fin que le monde entier nous envies.
Ben [ben.ngawa@yahoo.fr] 10/02/2014 12:20:55
Et si tout ceci n’était qu’un grossier montage pour préparer l’opinion à un jeu de passe-passe du style Putin-Medvedev? La “victime” VK (du reste élevé lentement mais sûrement aux rangs de “martyr”), serait désormais vu par l’opinion comme celui qui pourrait remplacer valablement le “calif” puisqu’ayant subi les atrocités du pouvoir. Tout ceci on le rappelle, rien qu’à cause de son “amour” pour la mère-patrie et son attachement sans faille au peuple congolais. On passerait donc outre la révision constitutionnelle…Kabila prendrait 5 années sabatiques pour revenir en 2021. Pendant ce temps, VK lui repartirait dans “l’opposition” en 2021 pour rempiler 10 ans plus tard. Ainsi ces deux là pourraient rester au pouvoir ad vitam. Si tout ceci capote, il y a toujours Ruberwa que l’on garde bien au frais. Kabila n’est que la partie visible de l’iceberg pendant que tout se fait en dessous.
Sans cautionner ces pratiques dignes d’une république bananière que nous sommes, personnellement je ne croirai à l’authenticité des malheurs que vit VK que lorsqu’il sera jetté à Makala comme tous les autres opposants. C’est quand-même trop d’incidents en très peu de temps et tout d’un coup! Sans parler de tout le tapage médiatique qui s’en suit…Généralement lorsque ce régime veut réellement “nuire”, il procède à des abus nocturnes de pouvoir(enlèvements, arrestations arbitraires, tueries…) bien loin des médias! Autre chose qui me froisse un peu c’est le fait que VK habite cette maison et la loue?! Pourquoi donc? Lui offrait-on un prix si préférentiel? Vous n’allez pas me dire que VK qui a amassé une petite fortune durant ces années au pouvoir n’est propriétaire d’aucun bien immobilier à Kin? Excusez-moi mais ce soit-disant bras de fer, me laisse à la fois indifférent et sceptique. Comme diraient les anglais “I’m not buying it!” La lucidité reste de mise surtout lorsqu’il s’agit de nos politiciens.
Mundeke Jean [jmundeke@gmail.com] 10/02/2014 13:04:24
Le genocidaire et imposteur tutsi Rwandais Hypolite Kanambe est un ingrat qui a toujours deçu les gens qui lui ont rendu service.Il appartient aux autres complices et traitres congolais qui continuent à le soutenir de tourner mille fois leurs langues.Cas de Boshab,Minaku,Mende,Franncis kalombo,Mende...Ils doivent savoir que la culture sanguinaire tutsie ne peut pas changer à cause de leur devouement aveugle à la cause tutsie.Ils seront tous liquidès comme des chiens.Que Kamerhe passe déjà a l offensive en devoilant au public tous lles grands secrets sur cet homme Hypolite Kanambe.
Kimpwanza Dia Kongo [kimpwanzadiakongo@yahoo.fr] 10/02/2014 14:08:31
Boenga dieudonné ,
Vous collez à ce monsieur l’ étiquette d’ un opposant et vous reprochez aux internautes le fait de n’ est pas soutenir votre "heros" Kamhere . Les seuls vrais opposants que je connaisse croupissent en prison :
FERNANDO KUTINHO et DIOMI NDONGALA !!!
Voilà des gens que nous pouvons soutenir . Le reste c’ est de la "gnognote" .
Serge Kabanza [kabanzas@yahoo.fr] 10/02/2014 15:12:12
Continuez a croire que Vital Kamerhe est toujours avec Kanambe,c!est comme croire que cet usurpateur de l!identite Lubakat est utile pour notre pays .Kamerhe avait montre son courage patriotique tout en etant aux cotes de Kanambe,en denoncant la presence de troupes Rwandaises sur le territoire congolais.Chose qu!aucun autre congolais militaire ou opposant soit-il,n!avait le courage de le faire.Si Kamerhe avait loue Kanambe c!est parce qu!ils etaient ensemble et croyait en lui.Mais lorsqu!il a constate que son ami jouait le jeu de l!ennemi,c!etait patriotique qu!il le denonce et le quitte.Si il a commis l!erreur,sachez que l!erreur est humaine mais il n!a pas persevere.
gonda andré [mboandre@yahoo.fr] 10/02/2014 16:28:02
le peuple congolais doit se lever comme un seul homme en mettant décôté nos divergences pour chasser cet imposteur qui noous gouverne
Obeke [ntobipamu@gmail.com] 10/02/2014 17:52:55
Compatriote Baudouin Amba Wetshi,
Kamerhe a reconnu avoir menti aux Congolais et depuis aucun Journaliste Congolais est arrive a lui poser la question sur son mensonge. Akosa ba congolais na na nini et pourquioi li veut-il devenir president ya ba Congolais? Le congolais a droit de savoir et tuna ye pour aider le Congolais a comprendre qui est ce "menteur" Vitla Kamerhe Le Maboke made in Vital Kamerhe est une distraction car si le ridicule tuait , ce Mr Vital Kamerhe serait mort mais helas..... La RDC est mal dirige a cause des personnalites et opportunites de la trempe a Vital Kamerhe. Je suis Congolais et pour une RDC plus belle qu’aujourd’hui c’est pas avec Vital Kamerhe comme leader. mais avec le Dr Etienne Tshisekedi modele de vie politique et unique politicien qui a le malheur de faire de la politique dans un pays dont l’opportunisme est reconnu chance eloko. La RDC comme Etat n’existe pas et c’est la mission ya Vital Kamerhe na ba ninga na ye ya PPRD et allies na moziki na ye Ya UNC. Vous constaterez qui sont les leaders de ce parti? Les anciens decus du PPRD et anciens collabarateurs de celui qu’ils ont choisi(Joseph dit kabila). L’apres Joseph dit Kabila c’est la question de vie ou de mort de tous ceux qui l’ont choisi car ayebi esika nini ako zala meme pas a kingaki. «Mon acte de condamnation a déjà été signé par le président Kabila". En attendant, c’est la lutte finale! et alros il a choisi pourquoi ne choisi t-il pas aussi la prison pour mensonge aux Congolais?
Du courage et continute dans la lutte comaptriote BAW
Dr Etienne Tshisekedi president elu de la RDC l’epoir qui porte un nom.
Germano Wabavukila [goger@bellnet.ca] 10/02/2014 17:57:09

Il faut etre prudent sur l’evaluation de ce qui se passe entre Kabila et Kamerhe. Car jusque la il n’ya rien de grave qui lui soit fais par le regime qui demontre qu’il est devenu l’enemis jure de Kabila. Combien de fois le president Mobutu n’avait-il pas humilier Nkuza Karl-i-bond et par la suite qu’il renomme pour aller defendre son regime.

Le cheminement polique de Kamerhe au cote de Kabila demontre que celui-ci est le bon candidat pour proteger les interets de Kabila apres 2016, si jamais ce dernier quite le pouvoir. Cela dit, jusqu’a preuve du contraire, il’ est fort possibles que toutes ces tracasseries "mineures" envers Kamerhe, ne lui soient fais que dans le but de lui rendre tres credible et populaire comme opposant et augmenter ces chance de l’emporter aux elections presidentiel de 2016, contre les candidats de l’opposition le redoutable pour les interets de Kabila et de son regime. Et ce, sans que Kamerhe lui-meme n’en sache ou n’en soit au courant.

Les blancs sud-africains ont, certes, emprisonne Madela pour tres longtemps, mais ils l’ avait toujours "bien traite". Au fait, depuis la fin des annees 60, ils voyaient deja en Mandela comme le leader de l’ANC qui peut meux proteger leurs interets que n’importe quel autre de ses leader important.
Et, effectivement, une fois au pouvoir, Madela a ete, finalement, utilise pour la defense et la protection de leurs interets. Cette derniere observation ne veut pas minimiser les bonnes qualites de Mandela, Mais la verite doit se dire telle qu’elle est.
Christian [christian@yahoo.fr] 10/02/2014 17:58:59
J’ai deux observations à faire:
1. Celui qui a signé l’attestation du décès de l’URSS était un communiste. Il a obtenu le prix nobel de paix. Vous avez compris c’est Gorbatschev. Les anciennes républiques soviétiques qui sont aujourd’hui membres de l’union européenne n’oublieront jamais Gorbi. Personne n’a refusé glasnost und perestroika par ce que cette politique était l’oeuvre d’un communiste.
2. Kamhere, je le redis ici, on l’aime on l’aime pas, est intelligent. Il a des vrais diplômes et n’est pas faussaire. Ses proches de l’opposition ou de la majorité sont unanimes, l’homme est millions de fois plus intelligent que le fou "kabila" chez qui tout est faux.
Tout homme politique a un parcours mitigé, et Kamhere n’est pas une exception. Nous essayons d’être objectif dans CI (Congoindependant). Choisir entre " kabila" et Kamhere, ce n’est pas choisire la peste et le choléra. Ils sont deux extrêmes, seulement il y a des circonstances qui ont fait que Kamhere rencontre "kabila", c’est l’assassinat du vrai Kabila, et je pense sincèrement que Kamhere ne pouvait imaginer que Kanambe alias kabila pouvait être le vrai assassin. Aujourd’hui qu’il reconnait son erreur d’avoir accepter de rendre service à un voyou et qu’il le fait savoir, respecter sa lutte.
Chers amis, il ne faut plus citer le nom de francis kalombo, il va s’en orgueillir, c’est un faussaire, il nous faudrait un jour brûler tous ses faux papiers et sa toge, pardon sa "jupe", il fait la honte des universités congolaises.
Usseni Maftala [ussemaft@yahoo.com] 10/02/2014 18:14:14
Hipolite Kanambe,confronte aux pressions americaines l-enjoignant de respecter la constitution et de ne pas saboter la tenue du scrutin presidentiel en 2016,cherche a anticiper l!elimination de Vital Kamerhe car celui-ci est capable de gagner devant quelle marionnette qui se presentera sous le label du PPRD ou de MP.Nous encourageons Vital Kamerhe de ne pas reculer et de ne craindre rien devant cet assassin et illetre Rwandais car le peuple congolais attendait seulement un meneur pour chasser ce voleur et predateur de richesses congolaises.Tous les ancetres congolais sont derriere vous Mr Kamerhe.
Gaston Mumbere [gmumbere@yahoo.com] 10/02/2014 18:29:35
Hypolite Kanambe doit savoir que le peuple congolais ne le veut pas.Il doit partir apres le 19 Dec.2016.Si il planifie la methode Putin en Rdc,il peut aller le faire dans son pays le Rwanda où les tutsis peuvent etre appeles a voter pour Jaynet ou Zoe Kanambe.il est un ingrat de renom.Il a ete non reconnaissant vis-a-vis de Mbusa Nyamwisi,maintenant il le fait contre Kamerhe.Il a le plan de tuer les leaders du Kivu.
Yapapy [yapapy2001@yahoo.fr] 10/02/2014 18:34:46
@Nkomi Mbuta,

Je crois que quand on a créé un monstre, on doit avoir gardé la recette pour le détruire! VK a-t-il gardé la recette qui fait que le pouvoir se limite aux intimidations sans aller plus loin? L’avenir nous le dira!
Pour ma part, je considère la polémique autour de VK plutôt exagérée: Kabila est entouré des Congolais, des vrais, de souche (Mende, Kanyama, Numbi, Etumba, le gouvernement, le parlement, ...) aucun de ce gens n’a osé à ce jour dénoncer la complicité de la haute hiérarchie avec le Rwanda, se cramponnant à leurs petits avantages. Cet homme est le seul de la Kabilie à ce jour qui a osé cracher dans la mangeoire, en dénonçant publiquement l’entrée de l’armée rwandaise. On lui reprochera toujours de nous avoir vendu Kabila, mais il s’est ravisé à temps, lequel de nos politiciens peut se prévaloir vierge, sans compromission?
mulumba monique [monikmulumba44@hotmail.com] 10/02/2014 18:40:01
Nous aimons ,nous congolais céder à l’émotion et nous oublions facilement le passé.
Cette histoire est une pure manipulation des anglons- saxons ,préparer le peuple congolais à accueillir Vital Kamhere à la présidence en 2016.
Posez-vous la question ou trouve t-il l’argent pour louer les avions?
Ils ne veulent plus de Kanambe car son enrichessement personnel en peu de temps est scandaleux et la gronde populaire peu à tout moment changer la donne.
Il préféré un étranger à un congolais,car leur but c’est la balkanisation du Congo.Nous devons plutôt discerner et analyser les événements qui se passe chez nous.
Gode ntita [ntitaciabangu@yahoo.com] 10/02/2014 19:00:36
Si Kamerhe avait denonce l’entree des troupes ruandaises au Congo c’etait pour donner un peu de valeur a son Institution et non parce qu’il etait totalement en desaccord avec son maitre sur le fond. Je remarque simplement au regard de ce scenario que Kamerhe est un petit joueur. Quand vous convainquez une bonne partie de la populaion sur la valeur d’un homme politique par un livre, il faut aussi avoir le courage de le denoncer si vraimment vous trouvez que votre bonne foi a ete abusee. Kamerhe non seulement a fabrique Kanambe, mais avait refuse au peuple congolais de suivre le debat electoral qui lui aurait permi de faire un choix judicieux sur les deux candidats: Bemba et Kanambe. Kamerhe avait pretendu que Bemba etait tellement beliqueux donc capable d’etrangler son candidat. Pitie.
 

 

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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 13:09

 

Le président du parti de l’opposition Union pour la nation congolaise (UNC) a été empêché ce vendredi 7 février de voyager pour Goma où il devait se rendre avec des membres de son parti. L’opposant avait déjà embarqué à bord de l’avion qu’il avait affrété à l’aéroport de Ndolo lorsque, selon lui, la Régie des voies aériennes (RVA) a ordonné au pilote de ne pas décoller. 

« On vient de nous signifier que les autorités du pays viennent de refuser à l’avion de décoller avec Kamerhe à bord pour Goma avec sa délégation », a déclaré Vital Kamerhe, joint au téléphone à partir de l’avion vers 11 heures. Vital Kamerhe affirme que la raison de cette interdiction de vol ne lui a pas été signifiée.

Mais il croit savoir que les autorités ont « peur de ce que la population va démontrer aux yeux du monde : la consécration d’un leader accepté par toute la population du pays ».

« Je voudrai que la population [de Goma] sache que nous étions déjà dans l’avion », indique-t-il, déclarant qu’il attend d’être informé des raisons de cette interdiction de vol.

Joint au téléphone, le patron de la RVA qui affirme se trouver dans un hôpital a déclaré que son entreprise ne gère que la piste de l’aéroport de Ndolo.  Selon lui, c’est l’Autorité de l’aviation civile qui donne l’ordre de décoller.

Le directeur général de l’Aviation civile contacté peu avant midi affirme également se trouver dans un hôpital. Il dit ne pas être au courant de ce qui se passe à l’aéroport de Ndolo et promet de s’enquérir de la situation.

En janvier dernier, l’UNC avait fait état d’une mesure d’interdiction de quitter le territoire national visant son président, Vital Kamerhe.

Dénonçant « un acte de provocation », ce parti avait expliqué avoir contacté le ministre de l’Intérieur «  pour avoir la lumière sur ce dossier ». Ce dernier aurait affirmé n’être pas au courant d’une telle mesure.

Interrogé à ce sujet, le porte-parole du gouvernement congolais, Lambert Mende, avait démenti l’existence d’une interdiction de voyager visant l’opposant Vital Kamerhe.

Il avait expliqué que cette prétendue interdiction de voyager dénoncée par l’UNC serait plutôt « une sorte de syndrome de victimisation » que manifestent « certains éléments de l’opposition pour faire parler d’eux ».

Ce même vendredi 7 février, Vital Kamerhe a été délogé d’une maison de l’Etat qu’il occupait depuis 2004 quand il était ministre de l’Information. Il estime avoir été délogé illégalement et sans respect du contrat de bail parce qu’il louait cette maison. Le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende a indiqué qu’un préavis avait été adressé à M. Kamerhe depuis 2010 mais que ce dernier n’a jamais quitté la maison.

 

RADIOOKAPI

Vital Kamerhe lors de son arrivée à l'aéroport de Kindu, le 17/11/2011. Radio OkapiVital Kamerhe lors de son arrivée à l'aéroport de Kindu, le 17/11/2011. Radio Okapi
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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 09:20
Vital Kamerhe déguerpi de sa résidence
Quelques heures seulement avant son départ pour son périple dans les Kivus, Vital Kamerhe a été déguerpi de force par le pouvoir de Kinshasa de sa résidence de la Gombe, avenue Mwene ditu n°5.

C’est le Général KANYAMA en personne qui est venu déposer à mains propres à Kamerhe vers 22heures la lettre signée par Lambert Mende enjoignant Kamerhe de quitter cette résidence avant 6 heures du matin.

Vital Kamerhe occupe cette maison entant que locataire et est en ordre de paiement de ses loyers. Les preuves de paiement seront publiées incessamment.

L’opposant Vital Kamerhe a été délogé vendredi 7 février d’une résidence officielle de l’Etat qu’il occupait depuis 2004, année où il assumait les fonctions de ministre de l’information. Jusque ce matin, le président de l’Union pour la nation congolaise (UNC) continuait à évacuer ses biens de cette maison sise rue Mweneditu à Kinshasa. L’opposant actuellement trainé en justice par une députée de la majorité crie à l’acharnement. Le porte-parole du gouvernement affirme pour sa part qu’un préavis a été adressé à M. Kamerhe en bonne et due forme. 

 

« Je n’ai pas dormi cette nuit et on m’a dit que je dois terminer le déménagement à 7 heures du matin. J’ai posé la question mais qu’est-ce qu’on fait de la loi, parce que même un locataire de la cité, on lui donne un préavis. J’ai demandé un jour un préavis et ils ont refusé », affirme l’opposant Vital Kamerhe.

Il déclare en outre louer cette maison depuis qu’il avait cessé d’être ministre de l’Information.

« Cette maison je la loue en tant que Vital Kamerhe. Je paye régulièrement le loyer et j’ai un contrat de bail en mon nom. Aujourd’hui, c’est la seule maison de l’Etat qui reste encore sur cette avenue, toutes les autres maisons ont été vendues au maximum 12 000 dollars. Et moi-même à l’époque on m’avait proposé de la prendre, il y avait même un arrêté qui me l’avait été attribué. J’y avais renoncé parce que nous devons prêcher par l’exemple », a joute-t-il.

Le président de l’UNC place cette affaire dans un contexte d’acharnement qui viserait sa personne :

« Il y a beaucoup d’histoires qui sont évidemment cachées. Et j’ai compris que c’est un acharnement qui a commencé d’abord avec l’histoire de la DGM, ensuite le ministre des Médias qui m’a consacré une conférence de presse pour me traiter de tous les maux, et il y a aussi eu le procès avec Mme Wivine Moleka où le ministère public demandait qu’on me condamne de 3 ans ferme avec effet immédiat », a-t-il indiqué.

Ancien secrétaire général du PPRD, le parti présidentiel, et ex-président de l’Assemblée nationale, Vital Kamerhe a été contraint à la démission en 2009 après avoir critiqué les opérations militaires menées conjointement par les Forces armées rwandaises et congolaises contre les FDLR au Nord-Kivu. Depuis 2010, il est à la tête de l’UNC un parti d’opposition.

« Récupérer la maison de l’Etat, voilà tout »

En réaction, le ministre des Médias, Lambert Mende, affirme que tout ce que Vital Kamerhe dit « est totalement faux ».

« Cette maison est une maison de fonction. C’est-à-dire, une résidence attachée au ministère de la Communication et des Médias de l’époque, aujourd’hui ministère des Médias, Relations avec le Parlement et Initiation à la nouvelle citoyenneté », souligne-t-il, avant de préciser :

« Nous voulons récupérer la maison de l’Etat, voilà tout ».

Lambert Mende dit ne pas comprendre par quelle « alchimie il [Vital Kamerhe] soit devenu locataire » de la maison de l’Etat.

« On ne peut pas imaginer que M. Kamerhe ait reçu cette maison lors de la remise-reprise qu’il avait effectuée avec l’ancien ministre, M. Kikaya, et que je ne sais par quelle alchimie. Le Procès verbal de remise-reprise peut vous être remis à tout moment », ajoute le ministre des Médias.

Pour Mende, si le président de l’UNC prétend être un locataire, « c’est par un artifice tout à fait illégal qui a été anéanti par le ministère de l’Urbanisme ».

Lambert Mende précise que le ministre de l’Urbanisme, qui gère les biens du domaine de l’Etat, lui avait demandé de libérer « avec dignité » cette maison en 2010.

« Le 12 décembre 2010, le ministre de l’Urbanisme de l’époque, le député César Lubamba, a écrit à M. Kamerhe pour lui dire qu’il mettait fin à ce contrat de bail parce que le bien devrait rentrer dans la réserve de  ce qu’on appelle les résidences de fonction de l’Etat. Lorsque le ministère voulait déjà renter dans le droit de son bien immobilier, on lui a dit [à Kamerhe] que celui qui a signé avec lui le contrat jusqu’à la fin 2010 l’a fait illégalement mais qu’on le laissait quand même jusqu’à la fin de 2010 », souligne le ministre des Médias.

Selon lui, le ministère de l’Urbanisme avait donné un préavis de 3 mois à Vital Kamerhe.

 

« On lui a donné un préavis de 3mois en décembre 2010 pour libérer la maison. Cela courrait jusqu’à mars 2011. Nous sommes aujourd’hui en 2014, les 3 mois se sont transformés en 3 ans. M. Kamerhe n’est pas du tout fondé pour dire qu’on ne lui a pas donné un délia pour partir, il a abusé de la patience de l’Etat », indique Lambert Mende.

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29 janvier 2014 3 29 /01 /janvier /2014 15:05
"Monsieur le Président de la République, conformément à vos prérogatives constitutionnelles, vous êtes chargé de veiller à l’unité et à la concorde nationale.

Et lorsque le pays est durement frappé, comme c’est le cas maintenant, vous devriez être, non seulement le premier à vous exprimer, mais aussi à vous rendre sur le lieu du drame, de manière à susciter un élan de solidarité nationale et internationale."



















On ne peut être plus clair que ça!  Ce sont les propos du président de l'UNC, Vital Kamehre en rapport avec l'explosion du dépôt d'armes survenue à Mbuji-Mayi, chef-lieu de la province du Kasai Oriental. Un président, digne fils du pays, ne pourrait rester insensible aux tragédies aussi effrayantes qui frappent sa population. Non. Il laisserait tout son programme et accourrait aux chevets de ceux qui souffrent, il consolerait ceux qui sont éprouvés et il prendrait des mesures appropriées.
On ne le dira jamais assez. Ce qui se passe avec Kabila, nous, Congolais, devons en tirer les conséquences pour l'avenir: Dans n'importe quelles circonstances, ne jamais agir par émotion et surtout ne plus jamais laisser un étranger à la tête de notre pays. Kabila n'éprouvera jamais ce que nous éprouvons dans notre chair comme dans notre âme.
Après que les FARDC avaient défait le M23, nous avions déploré dans nos lignes le fait que monsieur Kabila ne se soit pas rendu aussitôt consoler le peuple meurtri par vingt mois de guerre et aussi féliciter et encourager les soldats ayant réussi à signer une victoire historique sur les agresseurs rwandais. 
Certains de ses flatteurs qui vivent au dépend du Kabilisme ont parlé des "raisons d'ordre sécuritaire qui l'auraient empêché de se rendre directement au Nord-Kivu. Mais croient-ils vraiment que leur président aurait besoin de se terrer comme un rat, s'il faisait son travail avec compétence?
Le grand Congo, dans la situation actuelle, n'a pas besoin d'un président aussi amorphe et insensible à la misère de son peuple que monsieur Kabila. Certaines langues disent même que monsieur serait en train de jouer avec des voiturettes dans son salon ou de gonfler ses muscles dans sa salle de fitness en laissant de côté le devoir de l'Etat! Où en est-on avec le gouvernement d'union nationale annoncé depuis le 23 octobre 2013? Monsieur dort. Laissons-le dormir! Vous avez dit Kabila président ou plutôt roi fainéant!
Lumbamba Kanyiki

 

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